Reseñas de montañas rusas
-
Un grand inverted dépouillé de ses middle breaks initiaux, à l’intensité redoutable et adictive.
-
La magie du flying B&M et la puissance incroyable du fameux Pretzel Loop.
-
C’est un looper old school de mon constucteur favori... Alors bien sûr aujourd’hui le concept du floorless peut paraitre désuet, tant nous devenons habitués à ne plus être gêné par le plancher. Mais en tant que looper, Superman reste un modèle de layout classique mais parfaitement équilibré sur la durée, sans middle breaks. Sa très belle drop et son parfait 0G-roll justifient à eux seuls le layout très aérien. Parfait dans sa catégorie, il bénéficie d’un envirronement désertique à son avantage.
-
Helix est une superbe bécane, qui regroupe énormément d’avantages en lui-même (launchs sympas, durée, géographie, layout audacieux et varié, trains parfaits…) comme pour le parc (il justifie à lui seul la visite de Liseberg, parc agréable mais globalement pas folichon), et tire partie de son insensé emplacement à flan de colline. Mais il suffit de peu de choses : un début de layout pas très heureux et un sentiment général de manque de folie font de ce camarade de classe un élève un peu trop sérieux. Je vous rassure, on a là affaire à un excellent coaster. Mack a fourni un layout riche et audacieux, mais gache pas mal de rail dans le premier tiers pour chauffer la bête, et les launchs restent bien timides...
-
Je n’ai fait que celui là et celui de SFGA. Ce dernier m’avait laissé un souvenir assez banal, alors que le madrilène m’a impressioné lorsque je l’ai redécouvert l’année dernière. Impression confirmée tout récemment, cet inverted, bien qu’assez serré et un peu bourrin, reste parfaitement lisible et tourne comme une horloge. Aucune baffe, une puissance maitrisée, un vrai plaisir devant comme derrière.
-
On peut reprocher énormément de choses à Nemesis. J’entends ces remarques et ces critiques, mais elles n’atteignent pas la haute considération que j’ai pour ce ride que je considère comme un réel chef d’oeuvre. Je ne suis pas qu’amoureux de ce modèle d’intégration et de thematisation, je suis aussi très bon client de ce layout aussi nerveux que court, très ferme, peut-être violent, mais qui m’a conquis à chaque tour de chaque visite.
-
Un peu de snobisme coasterien : Red Fire est un clone d’iSpeed, le hit Intamin de Mirabilandia, une autre icone européen, une petite bombe, un trait de génie comme Intamin sait en pondre de temps en temps. Red Fire, lui, a l’immense mérite d’avoir des trains à lap bars et sans harnais. Voilà qui le distingue de son homologue italien.De plus, allez savoir pourquoi, la deuxième partie, que l’on peut trouver superflue à Ravenne, ne fait pas cet effet à Istanbul… Ceci dit, si je n’avais pas ridé Red Fire, nul doute qu’iSpeed figurerait à sa place dans mon top 10. Avec les lap bars c’est certes mieux, mais on rêve de rider ce genre de trucs avec des trains comme Intamin est enfin arrivé à faire pour Taron par exemple.
-
L’alliance Intamin / Phantasialand se montre explosive avec une attraction complètement aboutie et intégrée, parfaite dans sa conception et dans sa réalisation. Le constructeur arrive enfin à faire des trains parfaits en s’inspirant des énormes progrès récents de la concurrence, mais nous éblouit surtout par son savoir faire particulier : à une époque ou les rides launchés se multiplient, quel pied intégral d’avoir un layout à la hauteur de ces accelerations ! La surprise est là, à chaque ride, à n’importe quelle place, dans un contexte idéal. Un ride ambitieux, qui met la barre très haut pour les années à venir.
-
Katun est, je pense, ce que B&M peut faire de mieux en grand inverted. Il allie l’élégance caractéristique du constructeur à l’intensité parfaitement maitrisée, un layout aérien et dense, tout à fait équilibré et bien réparti. C’est toujours un plaisir de retrouver ce vieil ami, qui vous contentera, détail caractéristique des bons coasters, à n’importe quelle place.
-
Bien que marquant, j’ai longtemps hésité à laisser en tête de mon top un ride que je n’ai pas refait depuis 6 ans. Mais en 2016, avec les relatives déceptions de Balder à Liseberg et Colossus à Heide Park, j’ai réalisé à quel point ce ride m’avait marqué. Hauteur, vitesse, intensité, une expérience complètement folle et dingue, pour moi parfaite, et que je ne peux donc pas classer ailleurs...