Reseñas de montañas rusas
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Un chef d’oeuvre dans sa catégorie, un ride à part, exemple de ce que peut apporter le savoir-faire Disney
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Une très belle synthèse de l’inverted B&M, dans un écrin à sa hauteur. Avec les avantages et les défauts d'une synthèse...
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Une vraie réussite tordant le coup à la réputation de mollesse des wings B&M.
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Un grand inverted dépouillé de ses middle breaks initiaux, à l’intensité redoutable et adictive.
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La magie du flying B&M et la puissance incroyable du fameux Pretzel Loop.
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C’est un looper old school de mon constucteur favori... Alors bien sûr aujourd’hui le concept du floorless peut paraitre désuet, tant nous devenons habitués à ne plus être gêné par le plancher. Mais en tant que looper, Superman reste un modèle de layout classique mais parfaitement équilibré sur la durée, sans middle breaks. Sa très belle drop et son parfait 0G-roll justifient à eux seuls le layout très aérien. Parfait dans sa catégorie, il bénéficie d’un envirronement désertique à son avantage.
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Helix est une superbe bécane, qui regroupe énormément d’avantages en lui-même (launchs sympas, durée, géographie, layout audacieux et varié, trains parfaits…) comme pour le parc (il justifie à lui seul la visite de Liseberg, parc agréable mais globalement pas folichon), et tire partie de son insensé emplacement à flan de colline. Mais il suffit de peu de choses : un début de layout pas très heureux et un sentiment général de manque de folie font de ce camarade de classe un élève un peu trop sérieux. Je vous rassure, on a là affaire à un excellent coaster. Mack a fourni un layout riche et audacieux, mais gache pas mal de rail dans le premier tiers pour chauffer la bête, et les launchs restent bien timides...
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Je n’ai fait que celui là et celui de SFGA. Ce dernier m’avait laissé un souvenir assez banal, alors que le madrilène m’a impressioné lorsque je l’ai redécouvert l’année dernière. Impression confirmée tout récemment, cet inverted, bien qu’assez serré et un peu bourrin, reste parfaitement lisible et tourne comme une horloge. Aucune baffe, une puissance maitrisée, un vrai plaisir devant comme derrière.
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On peut reprocher énormément de choses à Nemesis. J’entends ces remarques et ces critiques, mais elles n’atteignent pas la haute considération que j’ai pour ce ride que je considère comme un réel chef d’oeuvre. Je ne suis pas qu’amoureux de ce modèle d’intégration et de thematisation, je suis aussi très bon client de ce layout aussi nerveux que court, très ferme, peut-être violent, mais qui m’a conquis à chaque tour de chaque visite.
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Un peu de snobisme coasterien : Red Fire est un clone d’iSpeed, le hit Intamin de Mirabilandia, une autre icone européen, une petite bombe, un trait de génie comme Intamin sait en pondre de temps en temps. Red Fire, lui, a l’immense mérite d’avoir des trains à lap bars et sans harnais. Voilà qui le distingue de son homologue italien.De plus, allez savoir pourquoi, la deuxième partie, que l’on peut trouver superflue à Ravenne, ne fait pas cet effet à Istanbul… Ceci dit, si je n’avais pas ridé Red Fire, nul doute qu’iSpeed figurerait à sa place dans mon top 10. Avec les lap bars c’est certes mieux, mais on rêve de rider ce genre de trucs avec des trains comme Intamin est enfin arrivé à faire pour Taron par exemple.