Reseñas de montañas rusas

On ne peut nier l'ambiance qui donne à ce coaster un coté assez sympathique et maquille assez avantageusement le launch. Mais le layout, connu par ailleurs, reste assez faible et particulièrement minable dans sa deuxième partie. De plus, les anciens trains de loopers Vekoma sont de moins en moins tolérables dans des parcs de cette envergure, tout comme l'audio hasardeux.

Ce layout de série ne démérite pas, il reste un très bon spinning Maurer. Sous dimensionné pour le parc évidemment, et pas au niveau de Disney si on considère l'attraction dans son ensemble.

Une erreur de casting à la sauce Disney qui se l'est joué bien petit bras sur cette zone. Un bien triste investissement à l'époque.

Une légende raconte "qu'avant il était bien"....

La reine française des bouses, un vieux pari raté de Vekoma, et qui ne devrait plus être en service à notre époque.

Une bouse inridable, alors que certains autres bob Mack passent assez bien ailleurs. Accessoirement une intégration et un thème un peu tirés par les cheveux.

Le vieux prototype du bob Mack, bien que trop court, remplit au final assez bien son office.

Le modèle Youngstar est une réussite Mack, un familial accessible et dynamique, fluide et fun.

Blue Fire est un coup de génie de Mack, qui rappelons le a attendu 2009 pour se lancer dans les inversions. Avec le recul de quelques années, on voit ce que représente ce produit et les progrès qu'il a amené voir imposé à la concurrence au niveau des trains par exemple. Le renouveau tant attendu du looper a commencé à poindre le bout de son nez avec Blue Fire. Accessoirement la bête vieillit très bien, et la dernière inversion reste le sel indispensable qui relève un plat qui aurait presque failli être tiède.

Un peu de ci, un peu de ça, mais pas assez d'autre chose... Un système séduisant, mais une attraction pas aboutie, d'autant plus décevante qu'elle laisse entrevoir le potentiel du bazar.

Aucun intérêt, et accessoirement d'une laideur fatale pour cette zone du parc.

L'intégration avec le flume et le célèbre walktrough de la mine donne tout son charme à ce ride increvable d'EP.

SLC = Sale Layout Consternant.

Un sympathique suspended pour les petits.

Une catastrophe.

Personnellement je n'aime pas les eurofighters, je trouve que les inversions n'ont aucun intérêt, pas plus que le lift vertical et les drops qui s'en suivent. Il se trouve que dans celui-là je n'ai pas trop souffert, il mérite donc son étoile.

Fraispertuis est un parc honnête, incontestablement. Mais l'enfer est pavé de bonnes intentions. Timber Drop est une sinistre bouse, à l'instar de son grotesque ancêtre Séquoia Adventure dont il hérite des pénibles harnais, et ce sur un layout accumulant les fausses bonnes idées. Dommage car le ride bénéficie d'un louable effort d'intégration. La recette miracle de l'inversion pour les petits parcs n'est pas encore trouvée.

Balder est une allumeuse qui débande complètement dans les virages. C'est tout à fait dommage et c'est ce qui l'empêche d'être une vraie tuerie car pour le reste c'est du très très bon !

J’aime trop les inverted B&M et Phantasialand pour rester insensible à cette association.

Pour faire taire à tout jamais les fans d’Europa Park et leur Silver Star surcoté.

Un chef d’oeuvre dans sa catégorie, un ride à part, exemple de ce que peut apporter le savoir-faire Disney

Une très belle synthèse de l’inverted B&M, dans un écrin à sa hauteur. Avec les avantages et les défauts d'une synthèse...

Une vraie réussite tordant le coup à la réputation de mollesse des wings B&M.

Un grand inverted dépouillé de ses middle breaks initiaux, à l’intensité redoutable et adictive.

La magie du flying B&M et la puissance incroyable du fameux Pretzel Loop.

C’est un looper old school de mon constucteur favori... Alors bien sûr aujourd’hui le concept du floorless peut paraitre désuet, tant nous devenons habitués à ne plus être gêné par le plancher. Mais en tant que looper, Superman reste un modèle de layout classique mais parfaitement équilibré sur la durée, sans middle breaks. Sa très belle drop et son parfait 0G-roll justifient à eux seuls le layout très aérien. Parfait dans sa catégorie, il bénéficie d’un envirronement désertique à son avantage.

Helix est une superbe bécane, qui regroupe énormément d’avantages en lui-même (launchs sympas, durée, géographie, layout audacieux et varié, trains parfaits…) comme pour le parc (il justifie à lui seul la visite de Liseberg, parc agréable mais globalement pas folichon), et tire partie de son insensé emplacement à flan de colline. Mais il suffit de peu de choses : un début de layout pas très heureux et un sentiment général de manque de folie font de ce camarade de classe un élève un peu trop sérieux. Je vous rassure, on a là affaire à un excellent coaster. Mack a fourni un layout riche et audacieux, mais gache pas mal de rail dans le premier tiers pour chauffer la bête, et les launchs restent bien timides...

Je n’ai fait que celui là et celui de SFGA. Ce dernier m’avait laissé un souvenir assez banal, alors que le madrilène m’a impressioné lorsque je l’ai redécouvert l’année dernière. Impression confirmée tout récemment, cet inverted, bien qu’assez serré et un peu bourrin, reste parfaitement lisible et tourne comme une horloge. Aucune baffe, une puissance maitrisée, un vrai plaisir devant comme derrière.

On peut reprocher énormément de choses à Nemesis. J’entends ces remarques et ces critiques, mais elles n’atteignent pas la haute considération que j’ai pour ce ride que je considère comme un réel chef d’oeuvre. Je ne suis pas qu’amoureux de ce modèle d’intégration et de thematisation, je suis aussi très bon client de ce layout aussi nerveux que court, très ferme, peut-être violent, mais qui m’a conquis à chaque tour de chaque visite.

Un peu de snobisme coasterien : Red Fire est un clone d’iSpeed, le hit Intamin de Mirabilandia, une autre icone européen, une petite bombe, un trait de génie comme Intamin sait en pondre de temps en temps. Red Fire, lui, a l’immense mérite d’avoir des trains à lap bars et sans harnais. Voilà qui le distingue de son homologue italien.De plus, allez savoir pourquoi, la deuxième partie, que l’on peut trouver superflue à Ravenne, ne fait pas cet effet à Istanbul… Ceci dit, si je n’avais pas ridé Red Fire, nul doute qu’iSpeed figurerait à sa place dans mon top 10. Avec les lap bars c’est certes mieux, mais on rêve de rider ce genre de trucs avec des trains comme Intamin est enfin arrivé à faire pour Taron par exemple.