Mahuka, qu’on pourrait aussi appelé Kirikou, tellement ce petit est vaillant. Comme dirait Dewie “je ne m’attendais à rien” et pourtant j’ai sacrément...
Mahuka, qu’on pourrait aussi appelé Kirikou, tellement ce petit est vaillant. Comme dirait Dewie “je ne m’attendais à rien” et pourtant j’ai sacrément été surpris. Tout d’abord par ce double top hat, qui est une porte qui nous appelle vers un land thêmé comme il faut. Un petit peu vide au fond à droite mais c’est déjà génial pour 10M d’euros et pour un parc de la taille de Walibi RA. File d’attente agréable, bien thématisée, et qui avance convenablement car les opérations sont très bonnes quand ça tourne à 2 trains.
L’ambiance dans la gare est en parfaite harmonie avec la zone, le coaster et son train qui arrive et qui nous ouvre ses lap bars. Il faut dire le dire tout de suite Mahuka est très bon, et il est bon partout. Ses vibrations se ressentent de plus en plus, à force que l’on recule dans le train. Je dirais qu’on commence à 10% d’intensité de vibrations au 1er rang (équivalent de Kondaa), pour finir à 50% au last (digne d’un Silver Star dans les creux). La véritable différence, c’est que les vibrations de Mahuka ne dégrade pas tant que ça l’expérience de ride, le train vibre parce qu’il est trop léger, qu’il est constitué en partie de carbone et de coques vides. Le feeling de ride, c’est juste un siège vibromassant, aucune migraine ou autre problème à signaler, rien de rédhibitoire.
Partons sur ce foutu premier launch une fois bien installé dans ces sièges tout confort, avec la lap bar la plus légère du monde pour seule corde qui nous retient en vie. On se sent libre de tous mouvements, seul au monde, surtout au first. Il y a déjà une impression assez magique qui se dégage de Mahuka quand on arrive sur le 1er launch.
Viiiiiii, petite patate mignonne sur ce 1er launch, belle inversion, qui nous laisse flotter très peu de temps mais qui est original, moins bien que le cutback de Toutatis en comparaison. Petit camelback avec un petit airtime qui suit ce 1er top hat, avant d’entamer un élément magnifique, ce S turn avec une petite bosse qui procure un bel ejector. S’en suit l’escalier de 3 marches, on saluera l’innovation mais c’est tout à fait oubliable, encore plus que le non inverted cobra roll de Kondaa. L’inversion qui suit et passe en bout de gare est fantastique, on sent qu’elle a été aplatît et étirée sur le logiciel de design, on flotte bien dedans et on ressent un super sentiment de liberté.
Second launch, un peu plus pêchu, suivit d’un top hat incliné côté extérieur, très bon ejector au first et beau floating penché vers le vide pour le reste du train. Puis on se fait tirer dans la drop qui suit le top hat, à l’arrière le basculement est génial, du niveau de celui qu’on a sur l’EGF turn du géant allemand. Enchaînons donc sur le 2ème élément magnifique à la suite, ce camelback provocant un ejector très puissant à chaud, avec un headchopper fou avec un des rails de Mahuka. Ce rail est si petit qu’on croit se faire décapiter dessus, le camelback incliné vers la gauche qui suit est géré comme il faut, avec un airtime sympa.
La fin se composera de superbes S pris au ras du sol avec une belle vitesse, enchainés par un wave turn qui nous fait bien décoller les fesses, comme dans BGCE et pas comme dans Toutatis. L’heartline roll de fin au-dessus de l’eau nous donnera un bel avant goût de Velocicoaster. Alors qu’est-ce que j’en pense en globalité ? Bah c’est génial, c’est top 3 France sans hésitation, sur le layout et les sensations, c’est digne d’un Toutatis, je pense même que ça me correspond mieux, plus agréable, c’est composé de gros éléments, d’éléments marquants, il n’y a qu’une ou deux fioritures. 67kmh, c’est fou, on a l’impression d’être au moins à 85kmh. Mahuka ne perd jamais en vitesse, les petits et moyens parcs se doivent d’ouvrir des Hot Racer Intamin, Mahuka est une petite bombe, merci Walibi RA et merci aux opés pour les photos en fin de journée. En terme d’expérience global ce n’est pas Toutatis, mais c’est le rêve d’avoir un tel coaster à côté de chez soi.
Sully, Bob, Monsters & Cie, tout comme celui-ci, il est un chef d’œuvre de la fin des années 90-début 2000. L’histoire de ce coaster et de ce parc est...
Sully, Bob, Monsters & Cie, tout comme celui-ci, il est un chef d’œuvre de la fin des années 90-début 2000. L’histoire de ce coaster et de ce parc est une expérience que toute notre communauté rêvait de voir. Que se passe-t-il quand des forains se retrouvent à la tête d’un parc d’envergure, d’un parc au potentiel de devenir l’un des meilleurs de France ? Et bien ça ne donne pas grand-chose, ça bricole à droite puis à gauche, avec des manèges de foire jusqu’à ce qu’avec quelques économies faites, on trouve la bonne opportunité. Celle-ci viendra d’un parc japonais, qui coulera dans la seconde partie des années 2000, Expoland (nom de m*rde), et surtout à cause d’un décès dans son parc sur une autre attraction. Monster, un inverted B&M de moyenne taille qui a coûté l’équivalent de 20M€ à la base se retrouve à vendre pour 5-6M€. Il coûtera au total 9M€ aux propriétaires de Walygator GE avec l’installation.
Ces mêmes propriétaires qui à cause de cet achat seront jugés en incapacité par la justice de continuer à gérer le parc, ils devront trouver des repreneurs. Dans les jours qui suivront cette décision, la grande roue de Walygator disparaitra et plusieurs boulons et pièces du parcours de Monster avec. Les repreneurs devront alors faire vérifier l’entièreté du coaster afin qu’il réouvre en toute sécurité pour les visiteurs.
En 2011 c’est donc reparti pour Monster, après avoir été opéré de 1997 à 2007 en comprenant plusieurs pauses, il rugit à nouveau aux alentours de Metz.
L’expérience Monster s’est d’abord un coaster posé dans un champ, pas du tout intégré avec le parc ni avec son parking ou quelconque autre infrastructure. C’est digne de l’intégration de Superman à Parque Warner Madrid, un truc génial et impressionnant posé au fond. En arrivant on voit le lift au loin et la gare, une sorte de garage automobile vide qu’on aurait mis au premier étage par-dessus un parc à boeuf. Merci au conteneur rouillé de commencer à poser une thématique à tout ça. Tout ceci en a réellement besoin, même si le coaster peut se suffire à lui-même.
Une fois les quelques marchées montées, on rentre dans une gare digne d’un hangar où on mettrait quelques tracteurs dans une ferme un peu moderne. Bref, montons à bord de ce train aux couleurs originales, bien qu’assez incompréhensible, avec des tons de verts et marrons, pour aller glisser le long de rails blanc et rose passé, ok ok. L’escalade du lift laisse monter une belle pression, au fur et à mesure que tout le parcours se dévoile enfin devant nos yeux, on ne comprend alors rien qu’à la vue, qu’une fois qu’on sera dans la drop, les moments de respiration ne seront pas nombreux.
La first drop est bien, aucun sentiment de flottement comme dans Katun mais on sent le poids du train dans le bas de la drop. Le loop qui suit est intense en G+ surtout à l’arrière, on sent que l’élément est sérré. Le 0G roll d’après n’est pas à 0G, un tout petit peu à l’avant mais à l’arrière c’est un élément avec un peu de G+, étonnant pour les 0G du constructeur suisse. Le cobra roll ne nous laisse pas le temps de respirer, les effets de basculement sont forts, le coaster ne vous laisse aucun contrôle, vous êtes sa chose. La sortie de cobra roll est monstrueuse, à l’arrière on est tiré comme une mère qui trainerait son enfant en crise à l’école primaire. Petit helix pour rejoindre l’ancienne zone de frein, respiration, 2 secondes de paix, waouh ce n’était que la première partie.
Deuxième partie de layout, qui commence avec une drop twistée qui nous fait reprendre de la vitesse, enchainant sur un corkscrew vers la gauche bien fluide, puis on prend une belle vitesse au ras du sol avant de prendre un deuxième corkscrew et d’enchainer sur l’élément de fin, le plus intense du coaster. Cet élément, c’est cet hélix à 540 degrés qui vous collera ans le fond du siège, à vous aplatir jusqu’à voir flou avant de rentrer sur les freins finaux. 45 secondes depuis le lift quand il est chaud, une vingtaine de secondes où il provoque des G+ intenses. C’est clairement un type de coaster pour ceux qui aiment se faire malmener, c’est violent mais fluide. Monster c’est Mike Tyson qui vous enchainerait au ralenti alors que vous êtes son plus grand fan.
C’est le meilleur coaster de France et ça l’est depuis son arrivée. Il faudra un coaster de très grande classe pour le dépasser, d’une classe supérieure à Toutatis qu’on aperçoit encore dans le rétro, mais dans le rétro intérieur, celui dans lequel le père de famille regarde ses enfants. Ici il n’y a pas de fioriture, chaque élément est un vrai élément, avec des c*uilles. Je crois que je peux faire Oziris en ayant pris toutes les drogues qui existent, ça ne dépassera pas mes meilleurs rides de Monster. La France brille grâce à un parc pas terrible, dans le fond de la Lorraine, grâce à une attraction japonaise d’un constructeur suisse. Et j’en vois certains voter RN et critiquer le grand remplacement, alors que notre pays ne serait plus rien depuis longtemps, sans ce mix de culture qui est notre plus grande richesse.
Différent de Katun car moins aérien mais plus fluide, il est d’une puissance quasi-similaire. Ce modèle, qui à pour clône Raptor à Cedar Point (rien que ça) est un inverted B&M de grande classe, le layout est super bien fichu, varié en éléments et en sensations, nous avons tout ce qui existe dans la catégorie G+. On est à des années lumières d’un Oziris en termes de niveau, et je suis quelqu’un qui à tendance à légérement préféré les coasters plus aériens.
En 2001, pour 10M€ tu avais le choix entre William Gallas ou EGF. L’un est un traître avec malgré tout un bon niveau, l’autre est très honorable et le...
En 2001, pour 10M€ tu avais le choix entre William Gallas ou EGF. L’un est un traître avec malgré tout un bon niveau, l’autre est très honorable et le meilleur du monde en son temps, comme quoi dans l’argent, le plus important c’est où on le dépense.
Dans le triste Holiday Park de l’époque, tout comme dans le renouveau vraiment sympa en Plopsa Deutschland, Expedition GeForce rugit de puissance dans le parc entier. Sa couleur orange apercevable depuis n’importe quel endroit du parc, se mêle plutôt bien à la végétation abondante et aux grands arbres couvrant les zones. Ce orange pourtant bien flashy donne un rendu assez organique et artistique quand on se balade là-bas.
L’entrée du coaster me fait penser à celle qu’on fait généralement pour un spinning coaster qu’on aurait posé au milieu d’un champ. La file d’attente à le mérite d’être à l’ombre dans les bois mais elle ne propose rien d’autre. La gare est un hangar totalement ouvert sur les côtés, c’est du niveau de Monster à Walygator GE, d’ailleurs EGF a connu lui aussi une gare sans toit à l’époque. La voie de garage est quand à elle une petite cabane en toile, on se demande vraiment si le coaster est thématisée sur la guerre du Vietnam quand on ne voit que ces éléments.
Puis arrive en gare le train, le seul, car l’autre est en hivernage en Pologne, depuis 3 ans ! Il est long l’hiver polonais. Sinon c’est beau, c’est majestueux, ça à vraiment son charme les trains Intamin des anées 2000, c’est comme regarder un bon match NBA des années 1990. Un train bas avec des sièges qui mélangent chaises de camping avec assises de stades en plastique. Je monte pourtant dans ce train sans nostalgie, je ne sais pas à quoi m’attendre, puis je me décide à enchainer les first et les last.
Le lift est grimpé rapidement, comme sur Kondaa, c’est génial ces lifts Intamin. Puis viens la drop, elle est monstrueuse, je pense que ça a tout pour être dans le top 10 drops au monde, easy. A l’avant ça peut paraitre un peu mou, même ressenti que l’avant de Kondaa, par contre à l’arrière c’est bestial. Le basculement est fou, on se lève à l’arrière du train dans ces lap bars un peu saillantes, mais si peu restrictives. C’est comme si la drop de Lech Coaster faisait plus de 50m. On enchaine derrière sur un camelback avec un airtime sympa, surtout à chaud. Les virages qui suivent sont pris avec une bonne vitesse, qu’on ne perd jamais du parcours d’ailleurs. Pourtant il y a une petite sensation de temps mort dans le milieu du ride, jusqu’à atteindre l’EGF turn, car on enchaine les virages, alors qu’on est assez haut. On a la sensation que 70% du ride se fait à 30m de haut, sur la cime des arbres.
Cet EGF turn est très bien d’ailleurs, je comprends qu’il ait pu inspirer et qu’il inspire encore, néanmoins c’est un élément qui de nos jours reste très bien mais sans être mythique. Les nouveaux éléments RMC et Intamin détrônent sans souci ce changement de direction au milieu d’une petite bosse, tout aussi bien qu’il soit. Puis, vient la fin du parcours, avec un gros camelback, qui nous fera frôler une barre horizontale qui vous donne l’impression de finir décapité. Nous ne sommes plus sur de l’airtime mais bien sur des gros ejectors sur ces derniers camelbacks. Le 2ème est très bizarre car le bas de la bosse est plat, donc on a seulement un léger floating, puis les 2 derniers sont comme le premier de ce quatuor de bosses, 2 gros ejectors qui nous emmènent jusqu’au freins finaux avec une belle vitesse. Sans freins on comprend vite qu’on irait tout droit au fond des bois, et qu’on aurait pas le temps de ramasser un seul champignon qu’on finirait comme un Goomba de Mario.
Du coup EGF, c’est magnifique, même 24 ans plus tard c’est hyper fluide, ça ne vibre pas, ça chauffe bien tout le long de la journée et ça se sent. Certains rides sont légendaires et ce coaster est un must do en Europe, ainsi que dans le monde entier pour les plus gros fans. La first drop et les camelbacks sont incroyables, la vitesse soutenue et les virages relevés sont intéressants, l’EGF turn fait encore son bel effet 20 ans plus tard, comme Virginie Efira. On ne voit plus du tout ce type de layout, et ça en fait une réelle expérience. Il n’y a pas vraiment de temps mort, ni d’éléments ratés à part l’une des bosses, mais c’est toujours à cause des parties applaties des Intamin des années 2000, on croirait un transfert de voie ferrée.
Je pense que c’est mieux que ces nouveaux Hyper et Giga coaster, mieux qu’Hyperion, Kondaa, Shambhala, parce que ce n’est pas asceptisé, les sensations sont brutes, vraies, le feeling des trains est à l’ancienne, on ressent les rails dans le bon sens du terme. Si c’était une voiture ce serait une Ferrari F40, ce serait une voiture ultime de son époqueavec un charme exceptionnelle, une gueule à tomber et un moteur qui fait pâlir encore des nouveaux arrivants. Alors oui, ça perdrait la course contre les jeunots, mais pour le coup EGF en terme de ressenti à l’intérieur, l’expérience est vraiment un peu meilleur et surtout, jamais décevante. Je ne peux pas le mettre plus haut, ni plus bas, il glissera peu à peu dans le top mondial car des bombes débarquent tous les ans, mais il mériterait d’être encore top 50 en 2035 car c’est un monstre, le meilleur de ce début des années 2000.
Inverted Intamin original de part son layout et sa gare creusée dans la roche. Il a tendance a davantage baffer à l’avant qu’à l’arrière. Il est même ...
Inverted Intamin original de part son layout et sa gare creusée dans la roche. Il a tendance a davantage baffer à l’avant qu’à l’arrière. Il est même fluide et surprennament bon en last sur le train jaune. Le train orange est beaucoup moins fluide, il baffe dans chaque inversion et sur l’helix de fin.
La plus haute dive B&M en Europe à ce jour et c’est une bonne dive. Ça tourne a 3 trains, le batiment de la gare est très beau d’extérieur, la boutiqu...
La plus haute dive B&M en Europe à ce jour et c’est une bonne dive. Ça tourne a 3 trains, le batiment de la gare est très beau d’extérieur, la boutique est sympa mais la gare manque un peu de détails en intérieur.
La drop est très sympa, surtout au first, le dérochage est bon partout, les inversions sont fluides et les helix sont assez intenses car les trains prennent une belle vitesse.
Il vibrote légèrement au last mais rien de vraiment gênant.
Avec des vieux harnais B&M et non les vestes actuelles, Valkyria serait au moins aussi bon qu'Oblivion the Black Hole à Gardaland
Très beau GCI d’extérieur, la file d’attente s’ouvre sur une fontaine décorée magnifique, on peut y faire de belles photos, vous verrez que c’est plus...
Très beau GCI d’extérieur, la file d’attente s’ouvre sur une fontaine décorée magnifique, on peut y faire de belles photos, vous verrez que c’est plus compliqué pour le coaster en lui-même. Thunderbird ne brille pas par son débit, cette gare typé old USA est très sympa mais le process opérationnel est catastrophique, surtout à un train. C’est du dispatch toutes les 7-8 minutes, et ce aussi à cause de la zone de frein non réglée qui libère le train tellement lentement, qu’il met plus de temps à arriver depuis la zone de frein en gare, que tout le coaster en amont.
Pour le layout, mettez-vous à l’arrière et attendez qu’il soit chaud. La first drop est très inclinée et propose un petit décrochage, le reste du parcours propose vitesse et beaux airtimes. Il y en a 2 qui durent environ 3 secondes chacun, pour du GCI c’est rare.
Thunderbird c’est mieux qu’Heidi mais en dessous de Wickerman.
Copie conforme de Junker au niveau des trains et des rails, il n’est pourtant pas aussi bon que son ainé, cela n’en fait pas pour autant un mauvais co...
Copie conforme de Junker au niveau des trains et des rails, il n’est pourtant pas aussi bon que son ainé, cela n’en fait pas pour autant un mauvais coaster, loin de là.
Son lift vertical de 44m avec ses bons trains à lap bar est impressionnant, serrez-vous bien on se sent glisser dans le fond du siège c’est flippant. La drop est de grande qualité avec un beau décrochage planant, l’esperluette est surprenante mais amusante et les quelques camelbacks le long du parcours provoquent de bons petits airtimes à chaud.
Attention néanmoins, il vibre, surtout au 2e et encore plus sur les rangs exterieurs. C’est ridable mais ça gâche un peu l’expérience. Tenez-vous fort sur le changement de direction avant les 2 dernières bosses, le train prend un à coup monstrueux (méchant), comme si 2 rails avaient été mal soudés entre eux.
Bref, Pitts Special c’est bon mais on a un vrai sentiment de « dommage », surtout quand on voit le coaster construit 5 ans plus tôt à côté, qui est de grande classe.
Je wooden, tu wooden, il wooden, ... Nous ne sommes clairement pas du tout assez préparés à ce genre de choses en Europe. Les prefabs Intamin laminent...
Je wooden, tu wooden, il wooden, ... Nous ne sommes clairement pas du tout assez préparés à ce genre de choses en Europe. Les prefabs Intamin laminent les GCI modernes, Balder est d’une fluidité redoutable, on glisse sur les rails dans ses trains à ras le sol, avec cette sensation d’être assis sur le rail.
Laissez ce coaster chauffer, passez ce parc à boeufs un peu pourri collé au bord de la rocade et mettez-vous au last (du train bleu de préférence). Les opérateurs vous laissent ne pas trop serrer la ceinture et la lap bar, mais préparez-vous à voler. L’ejector de la first drop vous mettra quasiment debout, poussez sur la lap bar dans les creux pour éviter qu’elle ne se resserre et chaque ejector vous fera frôler les poutres. Sur la dizaine d’airtimes prévus vous n’en aurez aucun, vous n’aurez que des ejectors qui vous emmèneront vers l’avant, c’est jouissif.
Pour moi ce coaster, c’est l’essence pur et dur d’un wooden, des virages un peu lent qui sont des temps morts à l’avant, moins à l’arrière, mais croyez-moi que vous aurez besoin de respirer, vu que chaque bosse vous fera vous esclaffer de plaisir.
Je t’aime Balder, sache-le, tu es une pépite dans l’environnement parconautique européen.
Quand on regarde ce lac avec ce beau coaster en fond, qui est posé sur le bout du lac, on est immédiatement attiré vers le fond du parc. La zone de Le...
Quand on regarde ce lac avec ce beau coaster en fond, qui est posé sur le bout du lac, on est immédiatement attiré vers le fond du parc. La zone de Lech Coaster est bien thèmée, elle est jolie et on voit le coaster circuler à peu près partout. On sent l’intensité de l’extérieur, il va vite sur un parcours serré. La zone manque clairement de vie vu que ce parc est tout le temps vide, et les 2 boutiques de la zone n’aident pas.
La file d’attente est faite pour accueillir une bonne heure d’attente, elle est assez chiadée et il y a des by-pass, heureusement pour nous car il faudra descendre du train à chaque tour, et marcher les 300m pour se réassoir dans le train.
Les trains sont magnifiques, la gare est spacieuse, une vrille passe même dans cette gare chevaleresque toujours aussi bien thèmée. On embarque directement dans un lift bien pentu et on prend une grande respiration. La drop nous aspire, à l’avant elle est bien, mais à l’arrière mon dieu. Ne serrez pas trop votre harnais veste à l’arrière (les osés n’appuient même pas dessus) et vous vous retrouverez debout dans le train dans la drop. D’ailleurs les opérateurs vous lancent même si vous êtes tout seuls.
L’inclinaison de la drop est folle, on prend une vitesse monstrueuse pour un coaster aussi compact. La première partie avec la drop, l’inversion et le changement de direction-ejector + l’helix serrée… Waouh, à froid ça va c’est déjà très bon, mais à chaud, on ressent une drôle d’intensité, très rare sur un coaster. Je l’avoue, j’ai eu un petit voile gris, ma vision s’est troublée quelques fois au bout du 10ème tour d’affilée, une chose que je n’avais eu que sur un Batman the Ride. À noter qu’au maximum, j’ai eu un train rempli par 6 personnes.
Le coaster propose des bons airtimes, pas de très gros mais ils sont bons et globalement tous différents. L’inversion au-dessus de la gare est sympathique, plus belle de l’extérieur qu’impressionnante de l’intérieur. Le parcours est souvent ras du sol ou ras de l’eau, à frôler les quelques éléments de décors, on sillonne vraiment dans l’ambiance de la zone. La fin de parcours ressemble au début d’Abyssus, des virages serrés, quelques petites bosses et changements de direction, rien de fou.
Alors, Lech Coaster, ça commence très très fort, c’est globalement bon tout du long et la fin nous fait souffler un peu après un ride bien intense. C’est le meilleur Vekoma que j’ai pu faire, il est très varié, les airtimes, inversions et changements de directions sont tous différents et intéressants. Pour une si petite empreinte au sol, il faut comprendre que c’est un génie qui a dessiné cela. Le coaster vibre légèrement mais ça ne change rien à la qualité de ride. Il est clairement à faire à l’arrière, il est d’un tout autre niveau qu’à l’avant et il reste surtout mémorable pour sa first drop et l’intensité de ses 3 premières éléments. Les harnais vestes ne sont pas gênants et les trains sont confortables.
Du super bon pour un modèle de série, ouvrez-ça en Europe de l’ouest svp ! Par contre ça n’a rien à faire dans un parc aussi ghetto que Legendia et son ambiance de fête foraine désaffectée et sou coût équivalent à Energylandia, bruh.
La gare de Junker est difficile à atteindre, au fond de ce parc assez mal pensé mais qui est pourtant un vrai bon parc. La gare manque clairement de t...
La gare de Junker est difficile à atteindre, au fond de ce parc assez mal pensé mais qui est pourtant un vrai bon parc. La gare manque clairement de théma mais ce n’est pas grave, le coaster a bien assez a donner.
Junker vous laissera le temps de prendre une seule respiration à bord de ses confortables trains Gerstlauer avec lap bar, avant de vous catapulter à 104kmh en 1,9s.
Qu’est-ce qu’ils sont bons ces launchs Gerstlauer !
Le top hat est très bon et le siège avant droit vous fera ressentir un ejector fabuleux, pour la suite Junker fera une figure très originale avec ce double tour autour du restaurant mexicain, qu’avec des figures variées et en finissant par un looping applatit (stall) un peu court mais qui vous fera pendouiller agréablement.
Le horseshoe qui suit est un tout petit peu vibrant et très intense en G+, par contre le changement de direction qui suit est magique, sur les first extérieurs (surtout le droit) on vole en dehors du train. La fin du parcours nous fera passer dans un tunnel puis dans un barrell roll ejectant lui aussi qui finira sympathiquement ce parcours de grande classe.
Et bien Junker, c’est le meilleur Gerstlauer de ma vie pour l’instant, c’est un immanquable en Finlande et ça vaut vraiment le coup d’aller au fin fond de la campagne se faire ce parc et ses 3 bons coasters. Une vraie surprise !
Dur de savoir à quoi s’attendre avec du Mack Rides de 2014. Et pourtant, Helix est un très bon coaster, un top 15-20 au minimum en Europe, sans souci....
Dur de savoir à quoi s’attendre avec du Mack Rides de 2014. Et pourtant, Helix est un très bon coaster, un top 15-20 au minimum en Europe, sans souci. Son emplacement est magique, il joue parfaitement avec la colline et son dénivelé, tout en croisant 3 autres coasters et un flume.
La file d’attente est longue quand il faut chainride, néanmoins appréciable quand on y reste écouter cette bande audio IMAscore en faisant de l’attente. Helix tourne souvent a 3 trains et les opérateurs sont bons.
Au niveau du layout, Helix commence par une petite drop de sortie de gare, dans lequel on se fait aspirer à l’arrière. La suite du parcours proposera 2 launchs longs et mous mais qui seront complétés par l’effet de montée et les belles inversions qui les suivront. D’ailleurs, Helix proposent 2 camelbacks surpuissants avec des ejectors de 4 à 5 secondes. À certains moments, on sent clairement le train prendre une intensité assez folle pour du Mack de cette époque, souvent quand le train joue astucieusement avec la pente.
C’est un très bon et très long coaster, un peu intense à chainrider avec ses 7 inversions, il est moins bon que les meilleurs Blitz Intamin mais il rivalise vraiment avec un Toutatis ou un Taron.
Helix est le banger qui met ce parc d’exception à la première page du magazine et il faut le remercier. Liseberg a fait un choix osé mais payant, Helix est un coaster de classe mondiale.
iSpeed, ce n’est pas Steve Jobs qui l’a conçu et pourtant, dès qu’on le voit on le trouve ergonomique et dynamique. Situé entre la zone Nickelodeon, u...
iSpeed, ce n’est pas Steve Jobs qui l’a conçu et pourtant, dès qu’on le voit on le trouve ergonomique et dynamique. Situé entre la zone Nickelodeon, un champ et Divertical qui est posé sur un parking, on ne peut pas dire qu’iSpeed ait grandi dans un environnement idéal. Son entrée est un énorme parc à boeufs couvert par un toit de taule, les files sont inondées quand il pleut et la résonance du son des ados italiens qui queue jump vous donnera envie de tout casser. Pourtant une fois en gare, la course commence, vous y êtes, prêt à embarquer sur ces formules 1 sauce Intamin des années 2000. Des assises à la Stealth, à la Maverick, qu’il faudra dompter pour passer un ride idéal. Astuce, relevez les épaules pour bloquer le harnais guillotine et ne pas prendre de baffe dans le cou pendant le tour. 3, 2, 1, énorme launch LSM, qui enverra celui de Taron aux oubliettes, un départ arrêté proche d’un launch hydraulique. La légereté des trains de 12 personnes nous emmène immédiatement vers un top hat, sans freins, avec un petit floating très sympa, la drop qui suit promet une vitesse folle. 1er camelback et gros airtime, on regrette même ce harnais assez bloquant pour décoller. L’enchainement de vriages qui suit est parfait, pendant 45-50 secondes, c’est magique, les virages sont intenses, serrés, rapides. On prend tout les éléments à la vitesse max et ça se sent, même à froid il est plus intense que les Intamin européens modernes. Les changements de directions, mamma mia, des perles de pureté. Le corkscrew est planant alors que l’heartline roll provoquera plutôt un hangtime un peu dérangeant, appuyant sur les épaules des plus grands. Puis une fois arrivée sur la zone de frein de mi-parcours, considérez le coaster comme fini, les 10 secondes restantes sont sans intérêt, le but étant seulement de pouvoir tourner à 3 trains. iSpeed est étonnamment le meilleur coaster d’un parc contenant Katun, l’un des must de son genre. Faire un coaster aussi innovant en 2009, merci Intamin, bande de petits génies du Liechtenstein. Le layout est organique, chaque élément est important, montrant une puissance démesuré du coaster. Pour certains ce sera même dur à chainride (Rémy🤏), il alterne G- et G+ à merveille et ne perd que très peu de vitesse. Nous devons en parler davantage car iSpeed regarde clairement son cadet Toutatis dans les yeux, et grâce à son charme Intamin à l’ancienne, lui donne une saveur toute particulière. Faites 3 tours de circuit au moins pour le comprendre, et en first row, comme un pilote, Forza Ferrari ! 🤌
Très beau land, parc à boeufs vraiment peu agréable. La gare et les trains sont jolis et détaillés. Le coaster a une empreinte au sol très faible pour...
Très beau land, parc à boeufs vraiment peu agréable. La gare et les trains sont jolis et détaillés. Le coaster a une empreinte au sol très faible pour un wing B&M et ça se ressent dans le parcours, la first drop est petite et les inversions très peu variées. C’est cool d’avoir des virages serrés sur ce type de coaster par contre les inversions ne sont pas très fluides, au last comme au first. Ce coaster n’est vraiment pas intense et il manque beaucoup de chose pour concurrencer Oblivion.
La très belle surprise niveau coaster de ce parc. Très bonne dive machine pour sa taille, peut-être la meilleure d’Europe, en tout cas loin devant Bar...
La très belle surprise niveau coaster de ce parc. Très bonne dive machine pour sa taille, peut-être la meilleure d’Europe, en tout cas loin devant Baron et Oblivion à Alton Towers.
La drop offre un décrochage fou surtout à l’arrière, le coaster joue un peu avec le terrain dans un land assez simple mais travaillé quand même. Les objets comme aspirés par le trou de la dive sont incroyables ! L’immelmann et le 0G roll sont planants et il y a un beau camelback offrant un bel airtime, surprenant pour ce type de modèle. Ce n’est pas très long mais c’est franchement très bien pour ce parc qui manque de bon thrill.
Je ne savais pas que c’était dans les temples Mayas qu’on avait découvert la rouille ! Katun est immense, son lift se voit à des kilomètres et nous at...
Je ne savais pas que c’était dans les temples Mayas qu’on avait découvert la rouille ! Katun est immense, son lift se voit à des kilomètres et nous attire comme des moustiques vers un marécage. La zone est très/trop grande, avec des points photos où l’on peut voir circuler le monstre Katun et ses rails bleu nuit. La zone est un enchainement de temples qui débouche sur un escalier jusqu’à la file. L’une des pires organisation de file d’attente que j’ai pu voir, dès que l’on dépasse 20 min d’attente la file déborde, et 20 min d’attente avec un dispatch toutes les 7 min (un train…), c’est dire. La gare est belle et les trains sont très beaux, avec ce gris métallique et l’iris rouge de la bête sur les cotés. Le front row est très bien mais pour une heure de moins faites le last, il est démentiel. Une fois ce lift de 50m monté, la first drop très inclinée, mais bizarrement toute droite vous aspirera avec une puissance et une intensité folle. Le looping qui fait la moitié de la taille de la drop est pris avec engagement, suivi d’un 0G roll haut et planant. Katun rase le sol à 3-4 reprises et l’on sent la vitesse folle et le souffle du train au milieu des arbres. On a pas le temps d’admirer la forêt tropical que le cobra roll nous bascule avec robustesse. Chaque sortie d’inversion propose une prise de vitesse impressionnante, on se fait tirer comme si un Dieu Maya nous chopait par le colbac. La sortie des freins de mi-parcours nous propose un décrochage (airtime) surprenant, comme tout au long de la first drop. La dernière inversion est brusque et peut baffer un peu à l’arrière, elle nous emmène sur une dernière longue hélix qui nous écrase pendant 5 secondes à 5G+ jusqu’aux freins finaux. Mon dieu Katun, de loin mon inverted préféré, 25 ans et toujours un physique musclé de 25 ans !
S’il était bien opéré avec ses 3 trains ce serait magique. Oubliez les énormes défauts de Mirabilandia et allez tester Katun, qu’il soit votre numéro 1 ou 2 du parc, il saura sans aucun doute vous satisfaire. Il en devient même quasiment dur à chainride tellement il est intense, c’est vraiment pour les vrais amateurs de coasters. Merci aux proprios de Phantasialand d’avoir fait ce choix quand ils ont géré le parc dans les années 2000. Les rails de B&M étant à changer tous les 20-25 ans, selon leurs conseils, allez profiter de ce bijou avant que Mirabilandia ne le vende au prix de la ferraille dans 5 ans. Malgré ses rails rouillés il est toujours fluide et le parc ne changera pas autant de rails, ce sera bien trop cher pour ce parc aux choix douteux. Mieux que Nemesis Reborn, on espère que les dieux Mayas veilleront sur leur protégé.
Ridé 10 fois, à toutes les positions.
Toujours une valeur sûre les B&M inverted. Celui-ci est plus agréable devant que derrière, il peut être très i...
Ridé 10 fois, à toutes les positions.
Toujours une valeur sûre les B&M inverted. Celui-ci est plus agréable devant que derrière, il peut être très intense en fin de soirée avec des forces G énormes dans les hélix. À froid il est gentil, à chaud il vous montre sa vraie valeur. Attention aux vrilles qui commencent doucement puis vous retourne d’un coup sec, à la limite de la baffe.
À faire en se tenant bien au harnais pour apprécier parfaitement, la tête au fond du siège.
La file d’attente est vraiment sympa, jusqu’à la gare où le sol colle et ça pue la pisse, une honte cette gare. Sans parler de la file single rider qui commence à l’embarquement seulement, quelle blague ce parc.
Coaster qui ne monte jamais à plus de 40 min d’attente, peut être souvent très bas d’ailleurs.
Une demie étoile de moins pour les vrilles.
Shambhala est splendide, avec Dragon Khan il offre une skyline folle à Port Aventura. La zone Chine-Népal est belle même si elle est un peu vide. La f...
Shambhala est splendide, avec Dragon Khan il offre une skyline folle à Port Aventura. La zone Chine-Népal est belle même si elle est un peu vide. La file d’attente est un parc à boeuf couvert et la single rider, il faut connaître pour la trouver. Les opérations sont lentes et spéciales, on rentre un train alors qu’il y a 20 min d’attente, pour le ressortir 15 min plus tard car l’attente est passée à 45 min, à l’espagnole.
La gare est simple mais dans son thème, ça manque un peu de détail et de lumières. Les trains sont beaux, très longs et la disposition des assises est originale. Les lap bar sont agréables, quand vous ne vous serrez quasiment pas vous aurez des airtimes puissants et interminables. À froid, la first drop est décevante, et le reste du parcours est une accumulation de floatings (tous différents) assez long. À chaud, la first drop à l’arrière nous offre un décrochage puissant, le premier camelback offre 6 secondes airtime phénoménal surtout à l’arrière (de la puissance de celui de Kondaa) et le reste du parcours varie entre airtime long et airtime court et puissant. L’esperluette est surprenante, c’est un très bon élément dans lequel on garde une vitesse élevée. Deux petits points : 1. Le tunnel en bas de la first drop nous offre une sensation de vitesse folle. 2. La splash zone est magnifique et on prend de l’eau sur les sièges extérieurs.
On est sur du très bon hyper B&M, incomparable avec un Silver Star, je dirais même que le plus mauvais floating de Shambhala équivaut au meilleur offert par son homologue allemand.
Avant qu'on arrive à Thorpe Park, le parc était ouvert depuis 6 jours, Hyperia avait rollback 2 fois. Bilan des 6 jours : 2 fois fermé toute la journé...
Avant qu'on arrive à Thorpe Park, le parc était ouvert depuis 6 jours, Hyperia avait rollback 2 fois. Bilan des 6 jours : 2 fois fermé toute la journée, 3 fois ouvert seulement 1h et une seule journée opérationnelle. Autant dire que les 2 jours qu'on va passer à Thorpe Park s'annonce stressant, mais finalement le premier matin il ouvre, on monte dedans direct, on fait un tour au milieu du train. On descend, et au bout d'1h d'opération, le train rollback à cause de rafales de vent entre 45 et 50kmh... Je pense surtout que l'outward bank hill a été très mal calculé par Mack Rides, dès que le train et vide il galère vraiment à passer cet élément. Thorpe Park, mettra 28h a démonter le train, le coaster restera fermé tout le reste des deux jours, ils n'ont même pas essayé d'ouvrir à un train, une fois le train dégagé.
Passons maintenant à la review du coaster, le land est sympa, le coaster est magnifique et la file d'attente est un parc à boeuf non couvert et trop basique. La gare n'a pas la moindre déco, heureusement que les trains sont beaux même si très simples. Le lift nous donne une vue incroyable sur tout le parc et sur les environs, la first drop nous satellise même si le twist met fin à l'airtime/décrochage que l'on a. L'Outbank, c'est ça le meilleur élément du coaster, c'est l'ejector le plus long que j'ai eu de ma vie, ma veste et mon t-shirt ont voulu me quitter, le coaster était en train de me déshabiller. Le stall dive loop qui suit est génial, les 0G stall qui ont de la vitesse, comme celui de Zadra, sont merveilleux, ils sont hyper planants. Puis il y a des trims en bas de ce loop, stupeur générale ! Et là tout le reste n'est qu'un retour en gare au ralenti, avec une frustration légendaire.
Ce coaster a 3 éléments (first drop, outbank, stall) complètement barrés, parfaits de folie, mais tout ça c'est 25 secondes au grand maximum.
Si ce coaster avait 1 min de vrai parcours, ce serait un top 3 européen sans souci, aujourd'hui il est top 10, top 5 s'il vous a vraiment plu, mais attention à la fiabilité (il tourne à 100% les 4-5 derniers jours, je pleure).
Oui, Icon c'est vraiment l'icône, le renouveau de ce parc remplie d'histoires. Je n'en attendais pas grand chose, et à le voir circuler à froid le mat...
Oui, Icon c'est vraiment l'icône, le renouveau de ce parc remplie d'histoires. Je n'en attendais pas grand chose, et à le voir circuler à froid le matin, je n'en attendais plus rien du tout. Le train passait tellement lentement, que je pensais sincèrement qu'il pouvait roll back sur chaque dénivelé positif. Puis je suis monté dedans dès l'ouverture, il était froid et il était déjà assez bon. Il y avait quelques floatings, les launchs étaient mous, mais il y avait surtout du hangtime très long dans l'immelman et le barrell roll. Puis on a laissé le coaster chauffez toute une journée au soleil, et le soir ce n'était plus pareil, chaque airtime était saillant, des airtimes qui valent ceux de Toutatis, des changements de direction pas tous bons, mais certains étaient très bons. L'hangtime/ejector en haut de l'immelman, est magnifique. La composition globale du tracé est diversifié et intéressante. Je vous conseille le first, le last est intéressant seulement pour les deux décrochages après les top hat. Effectivement la fin de parcours se traine, on a plus de vitesse sur les deux derniers changements de direction, mais la longueur du parcours quand on voit comment c'est étriqué et qu'il y a des rails partout dans ce parc, ça mérite des félicitations à Mack Rides et Pleasure Beach. Foncez dans ce parc, c'est une vraie expérience, il n'y a que des trucs quasi inédits en Europe dans ce parc, et Valhalla c'est un flume de très grande classe (Chiapas, c'est un kiddie flume à côté).
Je n'ai pas pu tester l'ENSO Seat, le train étant encore en maintenance.
Nemesis Reborn c'est de loin le meilleur inverted B&M que j'ai pu faire, je n'ai pas encore testé les énormes aux USA, mais en Europe il est loin deva...
Nemesis Reborn c'est de loin le meilleur inverted B&M que j'ai pu faire, je n'ai pas encore testé les énormes aux USA, mais en Europe il est loin devant Oziris, Black Mamba, etc.
Dès la file d'attente on est dans l'ambiance, je conseille d'aller faire Nemesis Sub-Terra avant son premier ride, pour bien comprendre la théma et l'histoire de Nemesis Reborn.
Cette petite balade dans les bois où l'on voit le coaster sous tous ses angles, permet de faire monter la tension, d'extérieur on ressent déjà l'intensité de la bête dû au décor et aux falaises que le train frôle. La file d'attente n'est pas couverte, comme toutes celles d'Alton Towers, je ne comprends vraiment pas les parcs anglais. La gare est à l'image des trains, bien thêmée et menaçante. Il n'y a pas vraiment de first drop, c'est un 0G roll drop, qui nous fait prendre une vitesse folle (ressentie), l'helix qui suit est très intense en G+. Chaque 0G roll est plutôt bon, mais le must, c'est la drop dans le gouffre, suivi du looping dans lequel on en ressort avec une vitesse démentielle. C'est assez court mais a premier rang c'est un chef d'oeuvre. À l'arrière c'est bizarrement pas si intense, le train nous couvre trop la vue pour profiter réellement du bonheur qu'est ce ride. Le meilleur coaster du UK s'il n'y avait pas Hyperia.
Kiddie Zamperla, assez fluide mais sans réel intérêt. La théma est un peu douteuse mais elle existe et c'est pas une évidence dans ce parc. Les toilet...
Kiddie Zamperla, assez fluide mais sans réel intérêt. La théma est un peu douteuse mais elle existe et c'est pas une évidence dans ce parc. Les toilettes sont marrantes dans la zone d'ailleurs. Les assises par contre sont vraiment dures, on ressent tout ce que fait le train sur les rails. Comment ce constructeur peut-il être en train de s'occuper de Top Thrill 2 ?
Ce bâtiment est assez bizarre, je ne saurais pas décrire le thème mais en tout cas c’est pas si moche. Ça fait peut-être un peu vieillot mais ça fait ...
Ce bâtiment est assez bizarre, je ne saurais pas décrire le thème mais en tout cas c’est pas si moche. Ça fait peut-être un peu vieillot mais ça fait le café. Les gares sont thèmées mais pas très belles, elle font + années 80-90 que 2002 honnêtement. Winja’s ce sont des Family++, c’est assez intense pour un spinning coaster et ça fait passer Crush Coaster pour un kiddie. On prend la partie wild mouse du début avec une vitesse élevée, on a vraiment peur de tomber à chaque virage, puis la grande drop twistée est sympa, les quelques bosses qui suivent provoquent des airtimes mais sans un grand confort. Les quelques petites animations et inclinaisons du wagon tapent un peu mais c’est surprenant et ça fait son petit effet. On ressort des Winja’s toujours conquis sans avoir trop compris tout ce qui s’était passé. Préférence à Force plutôt que Fear, le public allemand est souvent du même avis car la file de Fear est plus courte.
Ce bâtiment est assez bizarre, je ne saurais pas décrire le thème mais en tout cas c’est pas si moche. Ça fait peut-être un peu vieillot mais ça fait ...
Ce bâtiment est assez bizarre, je ne saurais pas décrire le thème mais en tout cas c’est pas si moche. Ça fait peut-être un peu vieillot mais ça fait le café. Les gares sont thèmées mais pas très belles, elle font + années 80-90 que 2002 honnêtement. Winja’s ce sont des Family++, c’est assez intense pour un spinning coaster et ça fait passer Crush Coaster pour un kiddie. On prend la partie wild mouse du début avec une vitesse élevée, on a vraiment peur de tomber à chaque virage, puis la grande drop twistée est sympa, les quelques bosses qui suivent provoquent des airtimes mais sans un grand confort. Les quelques petites animations et inclinaisons du wagon tapent un peu mais c’est surprenant et ça fait son petit effet. On ressort des Winja’s toujours conquis sans avoir trop compris tout ce qui s’était passé. Préférence à Force plutôt que Fear, le public allemand est souvent du même avis car la file de Fear est plus courte.
La boule de l’Eurosat est toujours aussi belle, la file d’attente et la théma sont tops. C’est tellement osé de prendre un thème aussi kitsch, et pour...
La boule de l’Eurosat est toujours aussi belle, la file d’attente et la théma sont tops. C’est tellement osé de prendre un thème aussi kitsch, et pourtant ça passe comme une lettre à la poste. La gare et les trains sont magnifiques, ça donne même un côté Noël plutôt que french cancan. Le coaster raconte bien sa petite histoire dès l’animation de l’absynthe puis nous emmène sur un lift toujours aussi marrant, ce n’est jamais décevant de chanter une Marseillaise avec les quelques français du train. La suite est un enchainement de petites drops avec des petits virages, le tout est tonique, nous donne l’impression d’aller à 75kmh et non 60khm. Chaque petite bosse provoque un court floating appréciable par toute la famille. Spéciale dédicace à la partie finale, le passage sous l’arc de triomphe et les derniers bunny hop sous les jambes des danseuses qui sont vraiment fun. Cancan Coaster c’est vraiment la Rolls Royce des Family coasters, il nous fait oublier sans nostalgie Eurosat qui contrairement à lui avait beaucoup de défauts. Je ne parlerai pas de la version VR que je n’ai jamais faite, mais ce coaster ne me semble pas en avoir besoin.
Colorado Adventure à Phantasialand est le mine train le plus sensationnel qu’il existe ? En Europe en tout cas c’est sûr. J’aurais peur d’y mettre mes...
Colorado Adventure à Phantasialand est le mine train le plus sensationnel qu’il existe ? En Europe en tout cas c’est sûr. J’aurais peur d’y mettre mes enfants tellement que de nombreuses fois j’ai faillit finir avec mes dents marqué sur l’avant du wagon. La file et la gare sont sympas, les trains aussi. Néanmoins la partie importante est la partie coaster, commençons par ces 3 lifts qui en font un ride super long et plaisant. Chacune des descentes enchaînera les petites bosses et surtout les virages tortueux. Virages qui, quand ils sont mis dans des hangars très sombres deviennent imprévisibles et hyper fun. N’essayez pas de lever les mains, cette attraction vous rappellera de la prendre au sérieux. Les enfants de 4-5 ans qui montent dans ce coaster, ce sont les mêmes que vous retrouverez à 7-8 ans dans des RMC. Colorado Adventure c’est une vraie aventure, même en tant que coaster fan, la vitesse et les inclinaisons me faisaient croire qu’on allait dérailler. Pour finir, il est un peu inconfortable, mais il se ride comme Troy à Toverland, en se tenant bien fort pour apprécier tout ce qu’il a à nous donner.
Formula est une bestiole très sympa. Sa thématique est un peu kitsch (ça date seulement de 2016), comme toute la zone autour, mais il reste un très bo...
Formula est une bestiole très sympa. Sa thématique est un peu kitsch (ça date seulement de 2016), comme toute la zone autour, mais il reste un très bon coaster qui démonterait beaucoup des machines que l’on a en France. Sa gare est suffisamment thèmée et son animation de launch est suffisante. D’ailleurs son launch est peu puissant mais suffit à faire son petit effet car on arrive très vite dans la première inversion. Inversion qui se passe en étant à la limité du rollback et dans laquelle on pend longuement dans son harnais (à veste souple, pas si désagréable). Par la suite le coaster se balade à vitesse de croisière pour prendre un parcours serré entre inversions larges et planantes, airtimes assez long sur chaque bosse et virage très smooth sans trop de sensations. La vraie chose à reprocher est effectivement la longueur du tracé, mais sur 560m je ne connais pas d’autre machine aussi efficace. Formula c’est le 4e coaster du parc à Energylandia, mais il serait premier dans de nombreux parcs de moyennes et petites tailles en Europe de l’Ouest. Formula c’est aussi la preuve du renouveau et de la douceur des coasters Vekoma, il s’est donc parfaitement intégré comme premier coaster à sensation dans ce parc Vekomaland. Formula c’est le bon cobaye qui nous permettra d’avoir Abyssus 5 ans plus tard.
Aveu : Je ne connais pas la version Flight Force, boycott de Disneyland Paris oblige, donc je parlerai de Rock’n Roller Coaster. Commençons par sa dev...
Aveu : Je ne connais pas la version Flight Force, boycott de Disneyland Paris oblige, donc je parlerai de Rock’n Roller Coaster. Commençons par sa devanture, sympa mais sans plus, on voit vraiment que c’est là pour cacher un cube de taule. Taule sous laquelle on peut attendre une bonne vingtaine de minutes dehors, dans son parc à boeufs. Enfin l’entrée dans le bâtiment devenait intéressante, les objets des stars du Rock’n Roll disséminés le long de la file faisaient rêver, sans même être fan (même la file fast pass était thématisée d’autres objets). Ce petit musée se finissait par le pré-show avec Aérosmith, qui restait anecdotique. La gare dégageait une atmosphère très sympa où l’on était assuré de voir un train partir devant nos yeux avec le décompte sur le launch. Launch qui d’ailleurs était puissant pour l’époque, nous faisant entamer la partie coaster par une double inversion intense et fun. Le reste du layout était tortueux, plus lent et seule une bosse et un corkscrew venaient animer l’ennui qui commençait à s’installer. Nous n’étions déjà plus dans le rythme déchainé des musiques et la fin venait écourter nos derniers espoirs de rentrer à nouveau dans le délire. Ce coaster ayant connu une rethèmatisation sur Ironman, je doute qu’on en ait en 2025 pour notre argent à + de 20 min d’attente. En conclusion, c’était sympa, mais trop court pour s’approcher d’un Space Mountain.
Le coaster qui m’a donné la passion. À 7 ans j’ai demandé au Père Noël un Space Mountain Mission 2, c’est dire comme il m’avait impressionné et que je...
Le coaster qui m’a donné la passion. À 7 ans j’ai demandé au Père Noël un Space Mountain Mission 2, c’est dire comme il m’avait impressionné et que je l’admirais. Je n’ai jamais vu un bâtiment aussi massif, qui gardait autant de classe et de beauté dans un parc. Quand les mécanismes marchaient, la légende nous happait et l’on pensait réellement qu’on allait décoller dans cette zone de lancement. La file s’est dégradée au fur et à mesure des versions, ne laissant plus de visuel sur le coaster, puis plus vraiment de décoration jusqu’à la dernière salle avant la gare. Aujourd’hui, l’univers Star Wars n’a rien à faire dans ce bâtiment, cela donne un côté cheap à un coaster qui à sauvé le parc grâce en partie à son histoire. Pour la partie coaster, la pré-drop avec la photo, ça marche toujours en 2025. Le launch est toujours un peu mou mais permet de regarder un peu le parc avant de se faire aspirer dans l’une des 3 grandes drops. Le parcours ne met pas de baffes, il n’est pas de tout confort mais tout s’enchaîne plutôt bien et avait du sens dans les 2 premières versions de l’attraction. Beaucoup de personnes oubliaient des inversions, preuve que pour un Vekoma de cet âge, il était smooth (on oublie pas d’inversion dans Goudurix, à moins qu’une baffe nous ait mis KO). Les 71kmh ressemblaient davantage à du 85kmh ressentis mais les harnais ont toujours été là pour gâcher les sensations que voulaient nous faire ressentir les trains. SVP, faite revenir Mission 1 ou 2, ne serait-ce que pour que la nostalgie redonne une âme à un coaster que vous avez tué. De plus, ça ne ferait pas de mal de remettre des éléments parce qu’il commence à faire très sombre dans cette structure, pas merci Disneyland Paris. Comme pour BTM, Space Mountain de DLP est la meilleure version qui existe.
Qui est le plus beau entre BTM et Space Mountain vu d’extérieur ? Difficile à dire. Honnêtement même sans Phantom Manor, il se serait suffit à lui-mêm...
Qui est le plus beau entre BTM et Space Mountain vu d’extérieur ? Difficile à dire. Honnêtement même sans Phantom Manor, il se serait suffit à lui-même ce BTM. Le meilleur BTM du monde qui plus est, il n’a aucune concurrence dans les autres parcs du groupe. La seule attraction qui a toujours mérité de pouvoir attendre une heure à Disneyland Paris. Et même malgré son attente, il valait son prix, que l’on ait 5 ou 65 ans. Dans la file, malgré un parc à boeufs bien agencé dans la structure en bois au-dessus de la gare, BTM dégage déjà une atmosphère folle. Il fait rêver les visiteurs qui se demandent comment on va atterrir sur la montagne au milieu de l’eau (si même, on est dans la bonne file d’attente pour faire l’attraction du train). Les trains sont beaux, mythiques et vous emmène directement dans une première belle drop après avoir embarqué. Pour la suite du layout, les sensations sont sympas et assez douce pour un train de la mine (coucou Colorado Adventure qui vise un public plus âgé, enfin j’espère). La partie avec la bosse avant la photo est très plaisante et contraste avec les quelques temps morts. Pour le reste, on attend gentiment le temps de quelques virages de filer jusqu’à la dernière drop, qui nous tirera bien comme il faut dans un tunnel encore sous l’eau pour rentrer en gare. Peu importe ce qui ouvrira dans les deux parcs Disney parisiens, BTM restera le visage des parcs et tient fièrement sa réputation, un top mine train de ce monde.
Ne comptez pas rider Troy, c’est Troy qui va vous emmener où il veut. Hormis le cheval de Troie devant l’entrée de la file, il n’y a vraiment rien à r...
Ne comptez pas rider Troy, c’est Troy qui va vous emmener où il veut. Hormis le cheval de Troie devant l’entrée de la file, il n’y a vraiment rien à regarder à part la structure en bois et le train qui passe. Pour la partie coaster, Troy n’est pas un coaster dans lequel on lève les bras, il vibre et envoie quelques chocs latéraux assez puissants, parfois en plein airtimes. Au début j’ai pensé que Troy avait très mal vieillit, que les trains de GCI avait trop abimés le layout tortueux (spécialité un peu débile de GCI) et hyper intense de la bête. Finalement, il m’a fallu 4-5 rides pour comprendre qu’il n’était juste pas à comparer avec Heidi, Joris ou encore Wodan, que lui était là pour mettre des claques et que c’était un wooden de type rodéo. De nuit, à chaud, il est hyper fun malgré qu’il faille se tenir comme si on se tenait pour sa vie. Moins rapide que Wodan dans les stats, mais l’intensité ressentie est au moins égale, le parcours est sûrement le meilleur que j’ai pu faire pour un GCI, gardant une vitesse folle tout du long peu importe les éléments qu’il emprunte.
Troy c’est à sa place, proche du top 100 monde, attention néanmoins à la violence dont il fera preuve dans les prochaines années, il est sur le bord de la falaise des wooden qui tape trop.