Tous les avis
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Inconfort Sans intérêt
Lent/ennuyeux... Technologie ancienne, ça ne donne pas trop confiance niveau sécurité et le confort n'en parlons pas. On le fait pour le crédit et éventuellement le facteur risque
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Sympa
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Intense ou puissant, je ne pourrais pas l'enchainer 3 fois ou plus je pense.
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First Drop Inversions Hangtime Temps mort
Bon, ce coaster n'est pas mal, surtout pour sa montée amusante à la verticale 90° suivie de cette décente abrupte digne d'un Oblivion. Mais la suite du parcours, excepté ses 3 bonnes torsades qui l'émaillent, est bien moins sensationnelle dans l'ensemble, avec de faibles pentes dans des grands virages successifs...
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Vitesse Layout
Ce coaster est typique des années 1980-90. La montée en colimaçon sur 4 ou 5 étages, non pas autour dun axe, mais le long des parois internes de la tour cylindrique procure son petit effet de hauteur. La descente est dans un tunnel, mais donne une bonne sensation d'accélérer, avec en prime quelques petits décrochages airtimes de pentes plus fortes inattendues, semblables à ceux d'une luge sur rail. Le meilleur étant à l'arrière, le train étant d'une longueur remarquable.
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Airtimes Launch Intensité
C'est la première fois que j'effectue un grand coaster non junior en marche arrière ! (Ah si, avec The Swarm de Thorpe du temps où c'était possible et Ride to hapiness parfois), et je l'ai même effectué 7 fois ainsi dans la journée, 1 fois en avant). Déjà en marche avant , je lui donne 3 étoiles 1/2, mais avec la marche arrière, 4 étoiles, sinon plus ! Que d'originalités durant ces 1 minute 30, dès le début, avec cette rotation de direction, puis accélérations alternées sur pente arrière et flèche avant. Suivi de ce top hat qui en marche arrière m'a fait beaucoup rire en même temps !
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Théma Chef d'oeuvre Longueur
Taron au juste, c'est quoi ? Le grand-huit est tellurique, évidemment : il rase les rochers, passe dans des tunnels, serpente au ras des gravats avec puissance. Le grand-huit est céleste, également : ses airtimes sont énormes, fréquents, et il n'hésite pas à prendre de la hauteur au détour d'un Jr Imelmann monstrueux. Mais Taron est au dessus de ça, au dessus de cette tension. Taron, en dépit de son intensité parfois bien agressive, en dépit des G positifs et négatifs qu'il déploie offre un parcours d'une légèreté ahurissante. Ce n'est plus un tour de grand-huit c'est une danse, un ballet virevoltant qui se faufile avec aisance dans chaque recoin du monde fictif qu'elle investit, ce village de roche, d'eau et de bois dont elle transfigure l'effervescence contrastée (la frénésie du progrès, la légèreté de l'invention y rencontre l'obscure rudesse de la nature et des éléments) en une orgie de sensations. Taron est une chorégraphie abstraite, aussi furieuse que gracieuse, qui toise le ciel comme le sol, de manière égale. Une merveille qui comme Black Mamba ne fait plus qu'un avec la zone qu'il redessine de ses courbes, un extraordinaire coup de génie dont les quelques temps morts ne permettent que de profiter plus sereinement de ses éclatants moments d'anthologie.
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First Drop Théma Fluidité Harnais Déception ! Inconfort
Je m'attendais à avoir au moins 1 airtime et rien les G positifs sont cool par contre et la drop egalement
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First Drop Temps mort
La montée à la verticale et le first drop m'ont laissé un beau souvenir !
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First Drop Launch Intensité
Souvenir ému du launch.