• Jeremy Lepenne

    Theming Pace Fun Discomfort

    Dommage qu'il n'y ai pas d'atout "ambiance" car clairement, c'est le gros point fort de ce coaster! C'est un peu kitsch mais perso moi j'adore! le coté spatial des année 80 est vraiment bien rendu! Après, les trains sont un peu inconfortable mais rien d'insurmontable.

  • Maël Coaster Fan

    Airtimes First Drop Masterpiece Capacity

    Franchement mon hyper B&M préféré !!! Airtime juste génial , la first drop est vraiment impressionnante et le confort des sièges !! Cependant , le débit reste à revoir avec je pense les autres coaster du parc ... C'est mon coaster préféré !

  • Léo

    Pointless Dead spots

    Sans intérêt

  • Pepitovores

    Launch Masterpiece Intensity

    Fait avant la réhab ! C'est pour moi mon coaster préféré ! Il a énormément d'atout comme son launch assez puissant, un coaster magnifique, une géniallisime première partie, la deuxieme est très cool a faire et une très bonne théma qui fait plaisir ! Un coaster à faire absolument !

  • Jeremy Lepenne

    Location Fun

    Un petit alpine bien marrant avec en plus le decor des montagnes

  • Coaster Crafter

    Masterpiece Intensity Ejectors Rattle

    Il faut admirer El Toro pour une chose essentielle : l’exploit d’avoir réussi à faire aussi longtemps l’unanimité comme étant le meilleur grand-huit au monde avec un parcours d’une simplicité aussi outrancière. C’est que l’éclatante réussite de cette montagne russe en bois tient à cela : il offre sur ce parcours d’un rare dépouillement un ravageur sentiment de déchaînement. Est-il réellement nécessaire de revenir sur l’ahurissante puissance qu’il déploie ? On n’en dira jamais assez… Qu’il s’agisse des creux et virages particulièrement écrasants, ou évidemment des bosses dont les airtimes sont devenus légendaires (à juste titre !), El Toro est absolument époustouflant de générosité : dès le premier camelback il nous fait dire qu’on a jamais vécu airtime aussi monstrueux, et deux autres fois dans son parcours il nous fera répéter cette euphorique affirmation, jusqu’à la fameuse « Rolling Thunder hill », considérée par beaucoup – et sans exagération – comme l’ejector le plus brutal qui puisse être. Étonnamment, peu de grands-huit se sont risqués à ce simple exercice de style, soit repousser tous les compteurs (vitesse, airtimes, puissance) sur un substrat des plus classique. Classique, dépouillé, mais étonnamment exhaustif : El Toro, c’est l’histoire du wooden réécrite par l’explosion contrastée des forces, de l’out-and-back au twister, de l’euphorie de l’airtime à la sauvagerie du changement de direction en passant par l’engouffrement dans les structures. Le réel coup d’éclat de Stengel ici a donc été le suivant : faire de la rigueur théorique de son parcours la condition de l’outrance sensationnelle qu’il délivre, transcendant toute opposition entre mesure et démesure. Un éloge paradoxal de la simplicité, en quelque sorte, et un immanquable classique des années 2000.

  • Coaster Crafter

    First Drop Inversions Pace

    Zadra, c'est d'abord une espèce de pot-pourri de tout ce que Schilke a fait de mieux : ne serait-ce que la première descente, monstrueuse d’airtime ! Il faut aussi citer le titanesque Zero-G stall, l’énorme « outward banked top hat » qui propose un ejector quasi chorégraphique tant il virevolte brutalement dans un sens puis dans l’autre, les deux Zero-G roll absolument furieux (on y reviendra), l’EGF-turn au ras du sol pris à une vitesse dépassant l’entendement, les « pop » d’airtime ejector combinés à des G latéraux… Pas un centimètre de rail n’est gâché, et les quelques moments moins éclatants ne sont pas des temps morts pour autant. C’est que Zadra est un monstre de rythme et de vitesse, qui – à l’instar d’Ispeed dans sa première partie – ne laisse qu’à peine le temps d’appréhender le parcours qui se donne à nous. Certes brutal et sans répit, Zadra est aussi étonnamment aérien, et utilise finalement assez peu la structure en bois inhérente au genre dont il se revendique. Ce qui peut paraître vu du sol plutôt cocasse (pourquoi vanter Zadra comme un « wooden » quand on n’utilise pas un des éléments identitaires de cette catégorie, à savoir le passage dans les structures ?) est en vérité une subtilité stylistique extraordinaire : par contraste, les rares moments où le trains s’engouffre franchement au milieu du bois et de l’acier (on parle d’un hybride, hein Energylandia…) sont mis en valeur. Ces moments, ils sont au nombre de deux, le premier étant cet énorme demi-tour bien chargé en G positifs, qui fait un peu penser aux Jr Immelmans de Taron ou Black Mamba en version primitive, mais qui contrairement à ces deux là se termine par un grand moment d’airtime (contraste encore !). Le deuxième – incontestablement le plus mémorable – survient lors d’un incroyable Zero-G roll qui s’engouffre justement dans la même structure colossale. Si de jour ce brusque retournement a déjà la formidable vivacité de combiner avec une rare finesse la grâce aérienne et la proximité avec le tangible, c’est de nuit qu’il se révèle comme un élément clé de Zadra. La pénombre qui fait complètement disparaître la ligne d'horizon, les lumières projetées d'un peu partout qui traversent difficilement l'opaque structure, le fait que ce retournement ne nous ramène pas tout à fait à l'endroit (puisqu'il se termine en virage) et surtout la vitesse du grand-huit chaud bouillant (combinée à la sensation de flottement du "Zero-G") produisent quelque chose de complètement inédit (du moins pour un coaster enthusiast avisé) : pendant un court instant, tous nos sens sont brouillés et on ne sait tout bonnement plus si on est à l'endroit ou à l'envers. C'est simple dit comme ça, mais lorsque les concepts de gravité, de verticalité et d'horizontalité échappent à littéralement TOUTE PERCEPTION (y compris visuelle), il ne reste plus que l'impression d'être dans une autre dimension… C’est proprement ahurissant. C’est cette inversion qui fait passer Zadra dans une catégorie supérieure, celle très restreinte des grands-huit euphorisants qui transcendent tous leurs contrastes pour offrir une expérience échappant réellement aux règles de l’entendement. Un chef d’œuvre.

  • naillik 64

    Capacity Fun Harness Rattle Theming

    Les nouveaux trains sont géniaux : plus confortable, pas de baffes, mais il ont tout gâché avec la nouvelle théma star wars que je n'aime vraiment pas. Le coaster reste sympa a rider, les légères vibrations ne m'on pas dérangé lors du ride. Le launch n'est pas très intense mais c'est normal ça reste un coaster familial.

  • Aricoasté

    Theming Capacity Headbanging Discomfort

    C'est un coaster qui reste toujours super, malgrès son inconfort.

  • Aricoasté

    Fun Intensity Smoothness Theming

    Il serait parfait avec la thématique qu'il mérite .